lundi 18 mai 2020

LE NINISME, UNE RÉALITÉ TRÈS ALGÉRIENNE.

Une déclaration du général Touati est depuis quelques heures l'objet de commentaires sur la toile... je me permets moi aussi d'y ajouter mes postillons...
Je ne sais pas comment les gens lisent ou entendent ...
Ce général n'a pas dit que « l'arrêt du processus électoral a généré la violence » mais que "cette violence a débuté avant ce processus et qu'elle était programmée avec ou sans lui car un nouveau projet de société avait été préparé pour être imposé au peuple"...
Aucune description de photo disponible.Le général n'a rien dit d'autre qu'une évidence qui s'apparente à une lapalissade en affirmant que : "l'arrêt du processus électoral a "AMPLIFIE" la violence"...
Il n'a pas porté de jugement sur l'arrêt du processus électoral ni affirmé qu'il constituait la seule alternative... il a tout juste affirmé que cette décision avait été prise collégialement et par une institution de la République dont c'était la vocation...
Lui rétorquer aujourd'hui comme le fait Abdou Semmar que le pays aurait gagné à user d'une autre "alternative" (celle du ninisme hociniste) pour arrêter la dérive, c'est tirer à rebours des plans sur une comète dont on ne voit plus même la queue...
La situation était très claire (et l'est toujours): il y'a d'un côté un projet théocratique (el Islam dine wa dawla) et de l'autre un projet dit "démocratique" (conforme aux conceptions occidentales de la "bonne gouvernance")...
Ces deux projets n'ont pas de PPCM mais un irréductible PGCD... car chaque projet repose sur le seul principe de l'élimination de l'autre...
L'option Ait Ahmed qu'on présente comme une "alternative" n' en est pas une...
A moins qu'on considère que le byzantinisme soit une alternative politique...
La négociation aurait pu durer 20 siècles qu'elle n'aurait enfanté d'aucun compromis car on ne peut mélanger le feu et l'eau...
Elle aurait tout au plus débouché sur un modus vivendi qui aurait instauré l'instabilité permanente... et remis l'affrontement entre les deux projets de société à plus tard...
Le pouvoir s'est toujours investi dans cette troisième voie... hybride et stérile... celle qu'il défend depuis toujours et depuis le Congrès de la Soummam: "l'Etat Démocratique et Populaire" couplé à "l'Islam religion d'Etat"...
Sans le dire, c'est en fait la voie "niniste" de Ait Ahmed qui a été retenue depuis 1956 et adoptée depuis 1962: celle d'un état ni laïc ni religieux, ni libéral ni dirigiste, ni capitaliste ni socialiste, ni arabiste ni berberiste, ni civil ni militaire...
La seule alternative dans laquelle tout est permis et tout est interdit et qui nous a condamnés et continuera à nous condamner à ne pas nous lever ni nous asseoir et à ne pas avancer ni reculer, assis face à face à nous regarder en chiens de faïence en aiguisant nos crocs pour nous mordre cycliquement...
C'est mon avis... et si vous n'êtes pas d'accord avec moi, dirou belli ma goult walou !
18/5/2016



2016



  • Loubia Belkeriine Sar Houle Comme disait Coluche, Allah Yarhmou, en se moquant des politiques : " je ne suis ni pour ni contre, bien au contraire"
  • Seffih Zoheir Abdou Semmar c est un français ?
  • Benmehidi Sami Ghir Goul ou zid goul ! Entièrement d'accord !

  • Kamel Hadj-lazib ce n était pas un processus électoral,pourquoi ? Le FIS est un partit religieux d un coté parmi des formations politiques , de l'autre coté un pouvoir qui supervisait les dites élections à l époque est illégitime et jusque à présent d ailleurs.

  • Safia Mustapha À mon sens , il ne l'a pas amplifié il l'a crée.
  • Rachid Ait Abdelaziz Les algériens ont oublié l'appel de 1976 et la prière commune aux facultés d'Alger , comme ils ignorent superbement l'attaque de l'école de police de Soumaa le jour de l'Aid, le massacre qui s'ensuivit et le vol d'une grosse quantité d'armes et de munitions et surtout le maquis blideen de Bouyali qui mis la région à feu et à sang pendant quelques années. N'oubliez pas l'attaque de la caserne de Guemmar en novembre 1991.
    Voilà qui peut contredire quelque peu les tenants du déclenchement des hostilités par l'arrêt du processus électoral.
    • Jackline Fergoug et les batailles à la fac de droit contre les Frères Mus
    • Rachid Ait Abdelaziz C'était beaucoup plus tard vers 1980 avec la perturbation d'un spectacle kabyle à la C.U.B.A par les frères mus et la mort de Amzal Allah yarahmou.
  • Wahida Belkacem Je vais en choquer frontalement plus d'un. Mais j'estime que ce pouvoir militaire m'est devenu presque sympathique en arrêtant le processus électoral. Et c'est là plus belle chose qu'ils auront faite pour ce peuple. Essayer de maintenir le pays au 20eme siècle. Je sais je vais m'attirer des foudres. Il n'y a pas de compromis possible avec l'extrémisme religieux .aucun .

    • Mohamed Attou Je le pense également, plus encore; il me semble que c'est la seule bonne chose que les militaires ont faite pour ce pays, et je ne crois pas qu'ils l'aient fait pour sauver la république comme ils le disent, mais beaucoup plus pour sauver ''leur république'', la suite des événements le confirme. Même avec cette intention égoïste, ça demeure positif tout de même.
    • Wahida Belkacem Dans 300 ans les livres d'histoire diront que cette junte militaire à sauvé le peuple du néant .vous verrez monsieur.

    Setti Rabah Ce sanguinaire devrait être traduit devant la cour pénale internationale pour crime contre ses concitoyens guetal vas!
  • Aziz Farès La virginité est un fond de commerce dont certains usent et abusent.



2017


  • Kamal Almi Ni d'accord, ni pas d'accord... 
    • Yassine Bazoul ... contrairement à toi, Kamal Almi, moi, c'est le contraire et parfois le contraire du contraire et inversement. Et je ne dis pas ça pour te contrarier, au contraire.

  • Noureddine Niar Nini nini???
  • Rabah Merieche Si y avait une troisième option pour évité le chaos et la guerre civile de la décennie noire donc forcément l'arrêt du processus électoral était une erreur fatale à mon avis, surtout avec la rencontre ou les rencontres entre Chadli et Hachani en début de 92 afin de trouver une solution et le cadre du fis à proposer des suggestions que je trouve raisonnables au problème... Le Fis laisse la présidence du gouvernement au parti du Ffs, et le Fis dirige seulement 3 ministères dans une gouvernement de coalition et enfin les militants du Fis voteront pour le Fln au deuxième tour pour équilibrer le nombre des sièges voilà tout mais les janveristes ont choisi une autre fois, une voie périlleuse qui a coûté à notre patrie des milliers de victimes

    • Mohamed Adjou Un compromis d'appareils qui n'aurait fait que retarder la déflagration pour la reporter à une date où les belligérants "de principe" aurait bien fourbi leurs armes pour détruire irrémédiablement le pays... merci !
    • Rabah Merieche Personnellement mon avis est que la décennie noire était évitable si les responsables et les différentes forces politiques de l'époque été plus sage en préférant l'intérêt de la nation aux intérêts politiques des uns et des autres et puis la politique est basé sur les compromis, l'annulation des résultats du premier tour et l'intervention des janveristes généraux qui ont forcé Chadli à démissionner ce dernier a déclaré  être apte à travailler et coopérer avec une majorité islamiste, les janveristes ont poussé les événements vers le pire, la politique est tellement compliquée qu'il faut jamais la laisser aux mains des militaires

  • Moussa Ben Tout à fait d'accord ! D'où le marasme dans lequel nous pataugeons.

  • Mohamed Adjou Si le compromis avait été trouvé, il aurait ressemblé à une compromission... La suite se devine: où l'armée se serait "islamisée" ou elle serait entrée en conflit ouvert avec les islamistes car il n'y a pas possibilité d'entente entre une armée républicaine et un mouvement théocratique... L'issue aurait été certainement pire que celle que nous avons vécue...

    • Rabah Merieche Monsieur on a vécu le pire, 300 000. Victimes ou peut-être plus, non en 92 y avait encore un régime présidentiel et le président Chadli possédait toutes les prérogatives selon la constitution de dissoudre le gouvernement du fis si cette dernière menace le fondement de la république algérienne ou de la démocratie et le Fis savait très bien ça

    • Nasser Dastan Bermier Rabah on dirait que vous avez oublié le discours des dirigeants du fis... le fis avait déjà les armes a la main avant même l annulation des élections et la démission de Chadli. Alors...

  • Khaled Khaled Ana d'accord, pour rien au monde je n'aurais voulu vivre sous le joug de la religion et encore moins de ceux qui en ont usurpé la représentativité, cela dit rien ne justifie les crimes commis par l'État algérien envers des milliers d' innocents

  • Mohamed Adjou Y'a Si Rabah Allah yahdik, c'est une gravissime perversion du jeu politique que de l'imputer à une race, une région, une langue ou une religion parce que toute défaite que subiraient les "partis" défendant en exclusivité ces options sera considérée comme une défaite de ces options et quand une race se sent défaite, elle réagit par l'exil ou la guerre, quand une région se sent défaite, elle est tentée par la sécession , quand une langue se sent défaite elle se ghettoise ou se révolte, et une religion n'accepte Jamais d'être défaite car elle ne peut concevoir un Dieu non victorieux...

  • Said Djebri Moi je ne philosophe pas ,je ne fais pas de politique, il n' y avait pas de troisième voie,les gens du fis,ont commencé la guerre bien avant l'arrêt du processus,la terreur a commencé par les intimidations, par un changement de force de nos habitudes, de notre tenue,d'emmerdement de femmes...


  • Said Onp Salut mon ami, et d'une la vie m'a appris de respecter l'avis de l'autre et de deux, dire que ma goult walou, mon avis a moi, cette clairvoyance dans l'analyse des faits fhemanaha n'ta3 wahed qui n'appartient qu'à lui même et sa patrie, le reste libre cours a tout un chacun de choisir comme bon lui semble son camp.



  • Brahim Baaziz Bien dit si Med
  • Redouane Assari "Quand c'est fini, n-i, n-i, ça recommence" disait la chanson. Ni-ni comme ni arabe ni musulman ? Comme nihilisme ? Pour moi aussi la stratégie du Ni-ni m'était incompréhensible et ne m'inspirait que méfiance. Techniquement le Ni-ni aurait mené mécaniquement, institutionnellement, à une révolution théocratique immédiate, une sorte de printemps arabe frère musulman automatique, une "révolution colorée" aurait on dit ailleurs et on ne peut pas s'empêcher de soupçonner que la partition du pays était un des objectifs sous tendus à la proposition.
  • Meziane Grabi Tout à fait d'accord avec vous. L'affrontement entre les deux projets de société était inévitable.
  • Kourdi Elmenfi Elmenfi Faut il rappeler que depuis l'interruption du processus démocratique en juin 91 "pas celui électoral ou mascarade de décembre 91 qui a légitimé le retour a la dictature militaire" aucune tentative de relancer le débat sur le libertés ni la démocratie encore moins sur la construction d'un Etat de droit, bien au contraire c'est l'affirmation de la dictature et l'Etat policier dans toute sa laideur qu'on a vu se réinstaller avec des options encore plus vulgaires et plus violents que sous le régime du parti unique ! Enfin c'est mon humble avis !





  • 2019


  • Hamdane Touaibia Non, goult et ce n'est pas mal dit !!
  • Djillali Brahimi monsieur l’écrivain vous dites des avis qui plaisent a beaucoup de personnes y compris moi

  • Cheikh Lay Dans un projet de livre récupéré sur un terroriste de la katiba el-khadra lors d'un ratissage dans la région de Tlemcen, l'auteur avait souligné clairement que l'exclusion du front islamique du salut de la stratégie et de la décision et sa totale ignorance des objectifs des moudjahidin.
    Intitulé "El-Jama3a el-islamiya el moussalaha fi sotor", c'est une preuve irréfutable et indiscutable de l'implication des américains directe dans le terrorisme en Algérie et du soutien financier et logistique direct des pays du golf.


    • Mohamed Adjou Cheikh Lay On n'a pas besoin de ce projet de livre pour comprendre la stratégie du terrorisme islamiste et deviner les visées de ses mentors et sponsors et si certains pouvaient douter que ce fut une stratégie de subversion à l’échelle planétaire, les développements ultérieurs allaient pleinement les convaincre...

    • Cheikh Lay Mohamed Adjou : Dire toute la vérité sur le terrorisme n'est pas aussi facile, car ça risque de conduire beaucoup de têtes à l'échafaud.

  • Kamil Moussawi Heureusement que le deuxième projet dit démocratique" (conforme aux conceptions occidentales de la "bonne gouvernance") l'a emporte wal hamdou lilah. La preuve en 2019 nous sommes là avec la fin de la dynastie bouteflikienne et le retour du saint cyrien Nezzar autrement-dit l'odeur du baroud et celle du soufre plutôt l'argent sale

    • Mohamed Adjou Avec l'autre projet on n'en serait peut être pas à discuter aujourd'hui derrière nos claviers... mais les "si" comme tout le monde le sait sont capables de vous faire d'un enfer un paradis ...et vice versa.
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  • Denis Chetti Ce sont des faits, pour certains indéniables. L'analyse de cette situation et de ses conséquences mérite tout de même d'en révéler les causes qui ont abouti à ce que le pouvoir n'accepte ni les démocrates, ni les théocrates, et je ne pas assez crédule pour penser que le choix a été fait par humanisme...
    • Mohamed Adjou il ne s'agit pas d'humanisme mais de pragmatisme... quant aux intentions, il faut les laisser à ceux qui savent les lire...

    • Denis Chetti Ce n'était pas du pragmatisme de pousser les algériens à s’entre déchirer pour garder la main sur l'argent du pétrole. Les urnes ont été bourrées en faveur du FIS car le FLN et ses réformateurs, étaient en train d'imposer une feuille de route, qui n'était pas du gout des militaires. Ce changement, imposé par le FMI, je te l'accorde, ne permettait pas au pouvoir des généraux de garder la main sur les richesses du pays, cette dernière risquait de tomber entre les mains des multinationales, succursales du prédateur FMI. Ni Démocrates ni Théocrates, voilà ce qui se disait aux Tagarins et c'est cette feuille de route qui continue à être imposée aujourd'hui, quitte à s'accoupler avec le diable...

    • Mohamed Adjou Denis Chetti c'est votre lecture, elle vaut d'autres lectures...

    • Denis Chetti Mohamed Adjou bien entendu et c'est une lecture qui tient la route pour rester éveillé

  • Aziz Mouats
    طلع النيفو


    • Said Zahraoui Dans votre seule phrase-ci طلع النيفو
      En guise de commentaire, votre verbe طلع est : 1/ à l’infinitif [et votre phrase donnerait alors : « lever le niveau »] ou bien : 2/ conjugué au passé à la 3ème personne du singulier [et ce serait : « il a élevé le niveau »] ou encore : 3/ à la 2ème personne de l’impératif [et c’est une demande que vous adressez à l’auteur du texte que vous êtes supposé avoir commenté, dans votre tête seulement, en lui disant : « élève le niveau »] ?...
    • Mohamed Adjou Aziz Mouats faham rouhek !

    • Aziz Mouats Mohamed Adjou sur votre mur ...pas facile...oui le niveau est très relevé...c'est une évidence...je ne pouvais pas dire plus...je me délecte ici...merci Mohamed Adjou...et mille BRAVO pour TOUT...

  • Fateh Boureboune Chiens de faïence, tiens! tiens! Ils n'aboient pas mais se brisent, Mohamed Adjou! Vie faste dans l'écologie vaste, écophilosophe Poète du Terroir. Mes amitiés.

    L’image contient peut-être : plante, arbre, plein air et nature


  • Djelloul Chenouf Bien au contraire tu as tout dit.

  • Mustapha Chafi Il faut s'attendre à un éclatement de l'état algérien actuel et même de l'ensemble de ce grand territoire formant l'Algérie actuelle .Les populations occupant cette terre ne sont pas aptes à vivre ensemble ,à former une nation, un état .C'est la guerre contre les européens d'Algérie qui a unifié ces populations et juste après la départ de ces occupants elles ont commencé à s’entre tuer ,voir l'été 1962 , événements de 1963 où d'authentiques combattants de la liberté ont été massacrés, 1970 où des étudiants ont été torturés et emprisonnés pour leurs idées .. la décennie arc-en-ciel où toutes les régions ont été soumises au diktat de personnes sans pitié, sans scrupules et se déclarant de Dieu sans que ce Dieu ne se manifeste pour mettre fin à leurs actes inhumains sauvages avec lesquels ils disent qu'ils se rapprochent de Lui.Seul Farhat Abbas a su qu'il n' y a pas de nation algérienne et qu'il fallait la construire.

    • Mohamed Adjou Mustapha Chafi aucune nation n'est "d'origine"... Elles se sont toutes "construites", souvent dans la douleur et elles continuent et continueront a se construire jusqu’à ce que Dieu hérite de Sa Création. Notre nation n'est pas plus ni moins homogène qu'une autre... Sa création ne fut pas plus ni moins indiquée que celles des autres nations et si le bonheur de ses peuple se trouve dans sa recomposition, que cela soit !...

  • Denis Chetti Il existe un point commun entre tous les algériens et même au delà et que tout colonialisme et impérialisme combat avec fermeté, c'est la nation berbère. Ce n'est pas une chimère. Elle a existé par le passé et existe aussi aujourd'hui à un stade effrité justement car tous les courants prédateurs ont une peur bleue de cette réalité, depuis l'expérience de Abdelkrim, cette réalité qui transcende bien nos sinistres frontières héritées justement du colonialisme..car il faudra bien un jour les redessiner...A qui profite justement que des kabyles veulent un bout de cette terre qui est la leur. A qui profite que des arabophones se prennent pour des descendants hachemites. A qui profite que des berbères musulmans se prennent pour des plus musulmans que les arabes...ne restons pas des victimes de notre malédiction et engageons nous vers un avenir commun, fédéral ou pas, mais sans la tutelle du FMI et de ses officines obscures...
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    • Mohamed Adjou Denis Chetti A l'heure où le monde construit des états citoyens libres de toutes caractéristiques raciales, linguistiques ou religieuses, des états où seuls priment le droit et le devoir et où la liberté individuelle se conjugue avec la justice sociale, on veut en notre pays, ériger un monde a part, bâti sur l'exclusion de tout ce qui est différent génétiquement, culturellement, linguistiquement... Même les états racistes et théologiques comme Israël et l'Arabie Saoudite sont en train de faire des concessions sur leur imbécile conception de l’état ethno-théocratique...
    • Aziz Mouats Mohamed Adjou طلع انّفو
    • Denis Chetti Mohamed Adjou cela reste une thèse de laboratoire, ailleurs le monde vit sous la coupe du dollar qui n'a ni odeur ni couleur, même si certains pays tentent de se désengager.
    • Mohamed Adjou Denis Chetti Je parle de l'ineptie des caractéristiques raciales, linguistiques, culturelles ou religieuses qu'on veut imposer à un état... le dollar c'est une autre affaire...
    • Denis Chetti Au même titre que la langue ou la religion, l'argent est un instrument de prédation pour dominer les peuples...

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