CORRUPTION ET BUREAUCRATIE
Quand la corruption est endémique, c’est qu’elle est "systémique"…
Personne ne pourra nier que, en notre pays, elle s’est métastasée à toutes les institutions ; aucun secteur ne lui ayant échappé : de l’enseignement à la santé en passant par l’agriculture et l’information pour arriver à la douane et à la justice.
La corruption est une fille légitime du "bureaucratisme". Et le bureaucratisme n’est pas un défaut isolé de notre système de gouvernance mais un de ses principes consacrés.
Quand un de nos responsables, de quelque niveau qu’il soit, parle de « hibet eddawla », ce n’est pas en terme de puissance publique apte à empêcher l’abus et la « hogra » mais en arrogance , en imperméabilité, en force répressive de l’appareil bureaucratique contre un peuple qui n’est plus considéré comme un ensemble d’individus auxquels l’Etat et ses démembrements doivent faciliter les procédures afin qu’ils puissent s’autogérer et s’épanouir mais comme une populace composée exclusivement de deux classes : les incapables et les truands ; les premiers devant être « soutenus » parce que considérés comme impotents et les autres combattus parce que considérés comme fraudeurs ataviques…
Et c’est au nom de cette catégorisation aussi simpliste que dévalorisante que sont établis lois et règlements qui portent intrinsèquement les germes de la corruption : celle du passe-droit pour les premiers, du moyen de se tirer d’affaire pour les seconds…
Qu'y’a-t-il de commun entre la distribution des logements et les retraits du permis de conduire, entre le couffin du Ramadhan et la vignette automobile, entre une ligne de transport et la rectification d’ un nom patronymique, entre la prime de scolarité et un permis de construire ?... des détenteurs de sésames qui monnaient leurs interventions pour la résolution de problèmes qui semblent avoir été posés pour les besoins de la cause !… et pour dissiper tout doute sur les turpitudes individuelles, le recours aux sempiternelles « commissions » de validation des mérites ou d’évaluation des culpabilités qui ont un seul mérite : celui de diluer les responsabilités et de « collectiviser » des décisions intéressées, afin de dédouaner le décideur cupide.
Combien d’avis de commissions sont en effet pris par des hommes d’influence en contrepartie de généreuses rétributions et entérinés pour la forme par des «commissions» siégeant tout juste pour les besoins du PV de l’apparente collégialité…
La commission qui est sensée juguler le passe-droit et les abus et donc prévenir la corruption est d’ailleurs aujourd’hui le paravent inespéré des pratiques les plus douteuses, que ce soit celle qui distribue le logement social ou celle qui sanctionne les écarts de conduite automobile…
De dérive autoritariste en dérive paternaliste, les institutions algériennes, toutes les institutions, conçoivent « hibet eddawla » non pas dans la symbiose qu’elle doit réaliser entre le service public et le citoyen… mais dans la manne qu’elle distribue ou dans la sanction qu’elle prononce.
Les citoyens pour leur part, ont compris que pour bénéficier de « sa part du gâteau » il faut savoir graisser la patte des distributeurs et pour échapper aux rigueurs des sanctions, il faut savoir rétribuer ceux qui les prononcent et le système en entier, gouvernants et gouvernés s’est graduellement fait à cette logique.
Lutter contre la corruption dans ces conditions, est une gageure car c’est détruire cet édifice patiemment mis en place depuis des décennies. Pour y arriver, il faut avoir le courage politique et physique de remettre en question des procédures consacrées, des privilèges trop longtemps entretenus, des réseaux organisés, des principes de gouvernance pervertis.
Les actions sporadiques, limitées dans l’espace et dans le temps ne peuvent arrêter cette gangrène. Les « affaires » qui sont éventées de proche en proche et qui ne constituent qu’une infinitésimale partie de l’iceberg ne peuvent crédibiliser l’idée d’une stratégie de lutte contre ce fléau car elles ne concernent que les lampistes ; et quand elles sont trop grosses, elles se perdent dans les rouages procéduraux pour finir par être inexplicablement classées dès que la fièvre populaire qui entoure leur découverte est retombée et que l’intérêt de la presse s’est estompé par un nouvel os médiatique à ronger qui lui est jeté; quand elles ne finissent pas par des verdicts sur mesure comme ceux qu’ont connus, connaissent ou connaîtront les affaires pourtant gravissimes des walis de Bouira, El Tarf et Blida…
21/2/2013
2017- Cha Hida Lar Kem, Errance Errance, Iskander Cherif, Kheira
Kheira Baghdadi, Mima Benaissa, Mohammed Mehnoune, Moussa Ben, Noureddine Niar,
Paola Paolini
2018- Abderrachid Beggar-b, Addi Halim, Aichouch Aichouch, Akli Menkour, Boualem Guerba, Boudjemâ Lamri, Brahim Rahmoun, Cha Hida Lar Kem, Fatima Marouf, Hassane Boukhalfa, Lamia Mi, Marzouk Moghrani, Nasr-eddine Aouni, Noureddine Niar, Ouda Benslimane, Rose Mimouni, Said Djebri, Souhabi Abdelkader, Thamazouzth Djidji, Tiddis Abderrahmane, Warda Lys, Zediga Adugmas
2019- Abderrachid Beggar-b, Addi Halim, Anissa Bmd, Aziz Sid, Dady Ali, El Mahdi Abrous, Lamia Mi, Mohamed Halit, Mustapha Cherifi, Noureddine Kerrouche, Rani Bessaa, Redouane Assari, Samia Aouna, Souhabi Abdelkader.2018- Abderrachid Beggar-b, Addi Halim, Aichouch Aichouch, Akli Menkour, Boualem Guerba, Boudjemâ Lamri, Brahim Rahmoun, Cha Hida Lar Kem, Fatima Marouf, Hassane Boukhalfa, Lamia Mi, Marzouk Moghrani, Nasr-eddine Aouni, Noureddine Niar, Ouda Benslimane, Rose Mimouni, Said Djebri, Souhabi Abdelkader, Thamazouzth Djidji, Tiddis Abderrahmane, Warda Lys, Zediga Adugmas
2017
Abderrachid Beggar-b :- hélas ! ! !
Paola Paolini :- Bien dit. La bureaucratie est le mal absolu.
Ces derniers jours en Italie on ne parle que de ça pour la mémoire historique :
opération mains propres (Mani Pulite) conduite par un courageux pool de
magistrats milanais pour démasquer le financement illicite des partis
politiques. Résultats: chute de la première république née en 1948, dissolution
des chambres et des partis, 30 suicides, 1000 arrestations et deux ans de gel
de l'activité politique. C'est ainsi qu'est venu au monde Forza Italien de
Silvio Berlusconi mais rien n'a changé. Pire: les politiciens continuent à
encaisser les 10% pour concéder un marché mais l'argent ils le mettant dans
leurs poches et non plus au parti et donc ça devient difficile de lutter contre
le phénomène. Un personnage impliqué dans les affaires de corruption en 1992
arrêté et emprisonné n'a pas perdu le vice et il est actuellement sous procès
pour corruption durant l'attribution des marchés pour l'exposition universelle
2015 à Milano. En Italie on utilise une expression célèbre dans le monde entier
et qui résume bien l'état des choses dans les pays corrompus. IL FAUT TOUT
CHANGER POUR QUE TOUT RESTE EN PLACE synthèse du chef-d’œuvre posthume de
Tommaso di Lampedusa : le guépard. On dit aussi : il faut tuer le guépard
c'est-à-dire changer réellement les choses.
2018
Djillali Brahimi:- Et avec ça tout est achetable, le
bac , le master, et le doctorat même de médecine
Tahar Adjou :-Bonjour mohamed...sob'han
Allah,Alhamdoulillah,w Allah akbar.
Mohamed Adjou:- oua bi'h'amdih !... amma baad ????
Boualem Guerba:-
السلام عليكم يا اخي في الله
Hhhhhh Bonjour sbah el khir c'est mieux ca de chez nous, Bonne
journée si Mohamed
Mohamed Adjou:- Sbah el khir Si Boualem... Je préfère
franchement ces formules du cru, sans recherche ni emphase et qu'on offre à son
semblable sans arrière pensée de retribution divine...
Noureddine Kerrouche:- Voilà où nous en sommes ,cher
ami,vous avez très bien concis la situation de notre pays.
Said Djebri:- Sbah El kheir Khoya Moh
Mohamed Adjou:- Kheir ou Afia Si Said. n'harek
mabrouk !
Mohamed Halit :-bonjour si moh
Souhabi Abdelkader :-Bonjour SI MOHAMED . ALLAH
YESTREEEEEEKKKKKK .
Nour-Eddine Mechentel :-Bonjour M. Adjou. Kima
i9oulou jetni fi dhahri. Non sérieusement, je pense que votre tableau est un
peu trop sombre car il doit forcément y avoir des gens honnêtes ça et là qui
n'ont pas besoin de dire "hé je suis là" et qui souffrent dans
l'ombre.
Madjid Dif:- Ya si Nour-Eddine Mechentel les gens
honnêtes li tahdar 3lihoum sont soit au cimetière soit en voie de garage. Sbah
elkhir 3likoum
Khaled Harrane:- Il suffirait dans un premier temps
d'appliquer le "mine ayna laka hâdhâ". Les fortunes soudaines et
inexplicables sont exposées au vu de tous. Un simple douanier qui roule en 4/4
de luxe ou un maire qui se construit un palais un an après son intronisation
sont des exemples parmi d'autres. Les signes extérieurs de richesse font
l'objet d'enquêtes dans les pays qui se respectent. Nous sommes condamnés à
ronger notre frein en attendant un miracle qui ne viendra pas.
Said Bouarfa:- Le diable a fait de l’Algérie son siège
social.
Nour-Eddine Mechentel :-Un ami à moi était prof et a
préféré prendre sa retraite anticipée m'a décrit l'étendue de la corruption qui
baigne climat des affaires. En vérité je préférerais ne pas savoir et rester
cloîtré dans ma classe avec mes élèves. Des fois je me mets à imaginer nos
parents et grands parents réveillés de leurs tombes et qui reviennent en ville
en groupes comme ça, mais ils choqués et scandalisés par l'état de notre
société alors je les vois préférer retourner dans leurs tombes l'air triste et
malheureux
Tahar Adjou:- Je veux dire : Prier et implorer Allah
en pleine nuit... mieux que de parler de left et de left toujours...
Mohamed Adjou:- Si les prières devaient améliorer le
quotidien des peuples tout le monde s'y mettrait... Il est plus simple de faire
des invocations que de planter des oignons... Dieu n'a pas autant besoin de nos
prières que de nos efforts physiques et même intellectuels !
Tahar Adjou:- Dans le Coran qui est des ordres du créateur,
il est dit que les djinns et les inns sont crées que pour prier.
Mohamed Adjou:- Ce n'est pas vrai... C'est ta lecture
de "ma khalaqtou el djinna oua el ins' illa liya3boudoun"... Dieu n'a
pas dit : "liya3boudounani" et le verset continue par d'autres sentences
et il est malvenu de le décontextuer pour ne citer que cette partie... Et puis,
"el 3ibada" n'a jamais été concentrée dans la prière... Elle englobe
tout acte de bienfaisance et d'ijtihad... Et l'acte de penser, de lire, d'écrire,
de dire sont aussi des actes de dévotion...
Tahar Adjou Ou' est le problème? Les américains sont
ils plus heureux que nous? Même en tant que pauvres et misérables?? Wallahi
nous sommes heureux par notre foi même naqsa et hamdoulillah.
Supprimer ou masquer ceci
Madjid Dif:- J'irais encore plus loin Mohamed ceux
qui decontextualisent la parole de Allah houm fi djahennem khalidoun n'est pas
Tahar
Elmountadhar Boumediene:- Mohamed Adjou, ils
humanisent Dieu et si Tahar Adjou il vaut mieux s éloigner des idées de Haddad
et Ould Abbas (nous sommes mieux que la Suède et new York) même dans contexte différent
Tahar Adjou:- Vous pensez que cet occident où personne
ne connait son père, où la relation familiale n'existe plus, où le mariage du
même sexe... Ceux qui sont encore musulmans parmi nous vivent une vie de
bonheur en croyant et acceptant le bien et le mal " elqadha w lqadar"
... Malmö, Las végas, ou New york... HHHH.... wallahi ma vie sous la tente que
mes femmes ont tissé avec la laine du chameau, je me sent dedans plus en
sécurité et mieux à l'aise que leurs 100 étages de leurs new yorks.
Mohamed Adjou :-Je ne sais pas si tu es au courant du
nombre d'enfants qui naissent sous x chez nous et qui représentent une infime
minorité de survivants parmi tous "les fruits du péché "...
Renseigne-toi puis reviens nous faire la leçon...
Elmountadhar Boumediene:- Il dit " mes
femmes" ... normal !
Tahar Adjou:- Oui "MES FEMMES"... c'est eux
qui doivent s'étonner, ce n'est pas toi Mr. Elmountadhar; Tu es musulman non?
Mohamed Adjou:- Ya Si Tahar tous les musulmans ne
sont pas nécessairement polygames et toi même tu ne l'es pas et tu ne le seras
jamais... La polygamie est d'ailleurs conditionnée par des règles si strictes
qu'il est illusoire de penser seulement pouvoir les respecter... C'est une
quasi interdiction pour un vrai croyant...
Elmountadhar Boumediene:- Avant on disait que nous
sommes plus propres que legwar parce que nous nestanjaw et eux ils utilisent le
papier hygiénique, quand je Suis venu a vivre parmi eux j’ai vu qu’ils se
douchent tous les jours
Tahar Adjou :- ils ont les moyens, ils ont construit
leurs pays en volant nos richesses et en nous esclavageant... que celui qui
admire leur mode de vie yroh 3and'houm, il n'est pas notre frère.
Elmountadhar Boumediene:- Rani 3andhom si tahar
Tahar Adjou :- Reste 3and'hom min fadhlk.
Elmountadhar Boumediene:- C est ce que je fais, et
Allah yhannikoum biha, Ana 3acht fiha ki kanet sah kheir men la Suède et new York,
pas maintenant où on est fier d’être humilié tous les jours. regardez la vérité
en face, regardez ce qui se passe. Sortez de la bulle.
Tahar Adjou:- Oui chez "fafa" kayan
l'makla,il y'a tout...c'est ça ce que veut fafa...fafa veut que tout les
algériens quittent leur pays ou la prient pour revenir, ceux qui sont faibles
tomberont dans son jeu.....
Madjid Dif:- En fin de compte Ould Abbas et Haddad
ont beaucoup de disciples, parmi eux ce Tahar Adjou qui se plait à vivre avec
ses femmes sous des tentes tissées avec la laine de chameaux donc importées
d'Asie, les dromadaires qui eux vivent bien chez nous il les réserve sûrement
pour leur urine.
Abderrachid Beggar-b:- un tout petit échantillon : je
connais quelqu'un qui s'est offert une étable avec quelques vaches de races
.(origine?? il était ""guichetier" dans une administration sans
grade.je l'ai croisé dernièrement les vaches sont mortes toutes à la fois
Warda Lys:- Les pauvres vaches !
Abderrachid Beggar-b :-edaouhalhoum l'ma3zate??
Mohamed Adjou:- Kayen bagrate et bagrate... Ou kayen
me3zette ou me3zette... Fahmou rouahkoum!
Mohamed Adjou:- Les unes sont importables, les autres
exportables...
Mohamed Adjou :-Et puis, ma n'goulouch une etable en
langage de nouveaux baggara... On dit "poulaillers nta3 el bgar" !
Abderrachid Beggar-b:- ki t'noudh Warda tfahhemna c’est
sur
Warda Lys:- Nodht et a part les vaches que
""soigne""Zoheir je ne vois pas d autres…
2019
Noureddine Kerrouche :- Sbah el kheir, vu la date de ce texte, nous
n'avons pas avancé d'un iota. Nous stagnons dans ce bourbier et y resterons
jusqu'à la fin des temps, à moins d'un miracle.
Souhabi Abdelkader :- C'est des vérités réelles au point où vous me
faites rappeler un moment que je n'arrive pas à oublier : le 19 Mars 62 avec un
certain nombre de compagnons(MOUDJAHIDINS) nous nous trouvions au pied du Mont
TIGUINETOCH ( CME de Bousselam Daïa de Bouandas) en compagnie du Commandant SI
HEMMIMI et aussi du CHEF DE Région ,le Lieutenant SI RABIE -BALOUL-(ALLAH
YARHAMHOUM) , lequel après avoir dirigé la prière de DOHR s'était retiré et
s'était assis sous un arbre assez loin de nous .Comme je l'estimais beaucoup(
pour moi c'était AMMI RABIE et non SI RABIE) je suis allé le rejoindre et je
l'avais trouvé en PLEURS. Surpris- car c'était un jour de réjouissance -je
l'avais interpellé : AMMI RABBIE AMMI RABBIE : qu'est qu'il y a ( OUECH KENE)
il me répondit qu'il n'avait pas eu la chance d'être un CHAHID . ETANT QUELQUE PEU
JEUNE ET sans réfléchir je lui avais dit : cela ne fait rien car nous allons
retrouver nos MAMANS, nos PERES, NOS SOEURS ET FRERES, LES TANTES ET ONCLES, LES AMIS ETC . IL ME REGARDA ET ME DIT DE LUI
TENDRE MA MAIN, CE QUE JE FIS. il, me regarda dans les yeux et DECLARA CETTE
SENTENCE: Nous allons retrouver des MENTEURS, DES VOLEURS, DES TUEURS, DES
FAUSSAIRES, DES PREDATEURS etc. Prés de 4O après et à mon retour d'exil suite à
l'AFFAIRE DES D15, et alors QUE DE TEMPS EN TEMPS JE PENSAIS à CE QU'IL M'AVAIT
DIT, j'avais pris contact avec un frère moudjahed OULNANE AREZKI (ALLAH
YARAHMOU depuis) POUR QU'IL M'ACCOMPAGNE à Ouzelaguène pour revoir AMMI RABBIE
-afin de lui rappeler SA VISION QUI S'est révélée JUSTE -JUSQU'A NOS JOURS, il
m'apprit qu'il est décédé depuis trois ans. et Nous sommes toujours avec un
pourvoir dont l'engeance de ses dirigeants m'avait été décrite par AMMI RABBIE
CE MOUDJAHED EXEMPLAIRE.